Big Sur Films
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13 septembre 2022Sortie de Super Super10 décembre 2019Un bel article de Frédéric Maire en hommage à Freddy Landry10 décembre 2019Entretien avec Freddy Landry - Cinémémoire, une histoire orale du cinéma Suisse.10 décembre 2019Article de Vincent Adatte paru dans Cinébulletin - Un grand défricheur de talents s’en est allé10 août 2018Projection dans le cadre du festival de Locarno de "Quatre d'entre elles" et de "Vive la mort" le 9 et 10 aout 201810 août 2018"Vive la mort" de Francis Reusser au Festival du film de Locarno dans le cadre de la section "Cinéma Suisse redécouvert".30 mai 2018DVD de Un mois de grève au pays de la paix du travail16 mai 2018Projection le 29 mai 2018 à Metro Boulot Kino1 septembre 2017Le prix de la marge!21 août 2017Première Suisse de Un mois de grève
13 septembre 2022

Sortie de Super Super

C’est avec une immense joie que nous vous invitons à l’avant-première du documentaire Super Super, un projet qui nous a porté pendant deux ans, et que nous aimerions partager avec vous.

le mardi 13 septembre au Cinélux

Premières séance à 18h30 avec une présentation du film suivie d’une discussion avec les protagonistes et d’un apéro dinatoire au bar des Saules.

Deuxième séance à 20h30 avec une présentation du film à l’issue duquel tout le monde est bienvenu à nous rejoindre au Saules autour d’un verre pour des discussions informelles.

Chapeau à l’entrée. Réservations bienvenues (sur le site de cinélux ou par sms au +41 76 448 35 88) pour nous permettre d’organiser les séances et la nourriture. Venez tout de même si vous n’avez pas réservé.

Pitch

En 2019, l’association Super Licorne - active dans un centre d’hébergement pour requérant.e.s d’asile - propose un atelier cinéma « Super héros » à un groupe d’adolescent.e.s au parcours et profils très variés. Très vite, les genres cinématographiques s'entremêlent, les héros se posent des questions sur leurs pouvoirs, les tableaux de fiction subliment les scènes documentaires, des entretiens filmés se rajoutent. Bref, Super Super naît d’un élan, celui de donner la parole et un espace de création à ces jeunes. Dans ce portrait sensible et décalé, leurs aspirations et leurs personnalités s’unissent contre leurs ennemis communs : les préjugés et les contraintes imposées par le monde des adultes.

Infos pratiques

Super Super, un film de 75 minutes,

Un film de Jessica Decorvet, Charles-Elie Payré et Valentin Rotelli. Avec Omid AHMADI, Rozar AICHOUKI, Meilat ASMEROM, Solyana ASMEROM, Heaven BRHANE, Taki EDINNE DJENNANE, Soliana HADISH, Daniel HADISH, Abel HADISH, Mohammad Mehran NIAZI, Biniam TAFERE, Sabqat RAHMANI, Levon POGHOSYAN. Une coproduction Big Sur Films et Super Licorne, 2021

www.bigsurfilms.ch

www.superlicorne.ch

Cinélux

Boulevard de Saint-Georges 8 Genève

Café des Saules

3 sentier des Saules, premier étage

Sortie de Super Super
10 décembre 2019

Un bel article de Frédéric Maire en hommage à Freddy Landry

Disparition de Freddy Landry

La Cinémathèque suisse a la tristesse de faire part du décès de Freddy Landry, mercredi 6 novembre, dans sa nonantième année. A la fois critique de cinéma et de télévision, producteur, professeur de mathématiques et de cinéma au gymnase, animateur de ciné-club et marchand de vin, ce Neuchâtelois est sans doute l’une des personnalités les plus marquantes du cinéma en terre romande. De très nombreux cinéastes et professionnels du cinéma de ce pays – dont le soussigné – lui doivent énormément.

Né en 1930 aux Verrières, Frédéric Alfred – dit Freddy – Landry obtient une Licence universitaire en mathématiques, matière qu’il enseignera dans plusieurs collèges et surtout, jusqu’à sa retraite, au Gymnase cantonal de Neuchâtel. Mais le cinéma est sa véritable passion. Avec des amis, il donne naissance au ciné-club universitaire en 1950, puis un ciné-club pour toutes les écoles de Neuchâtel, et met en place une option cinéma au Gymnase en 1964, qui permet même aux élèves de réaliser des films. Il développe également des semaines de projections où son ami Freddy Buache vient régulièrement montrer des films issus de la Cinémathèque suisse. Il s’implique également dans les Semaines d’études cinématographiques – qu’il dirige même pendant quelques années – qui réunissent des étudiants de toute la Suisse pour voir et parler de cinéma, à Leysin notamment. Il anime avec Delta Geiler Cinema e Gioventù (Cinéma et Jeunesse) qui permet à des lycéens de Suisse romande et du Tessin de participer en immersion totale au Festival du Film de Locarno, et qui sera là aussi un creuset de futurs professionnels du cinéma – le chef opérateur Renato Berta est de ceux-là.

Quatre d’entre elles à Cannes et Locarno
C’est à Locarno, avec quatre jeunes cinéastes prometteurs, que sa femme Micheline et lui décident de mettre sur pied un projet un peu fou : un film omnibus composé de quatre courts métrages racontant quatre histoires de femmes à quatre âges de leur vie, en mutualisant équipes, matériel et enthousiasme. Avec les quatre réalisateurs, Claude Champion, Francis Reusser, Jacques Sandoz et Yves Yersin, ils fondent ainsi en 1966 la société Milos Films, en hommage à Milos Forman dont les premiers films (et notamment L’As de Pique, primé à Locarno) les avait marqués. Ce film fondateur d’une nouvelle génération de cinéastes s’appellera Quatre d’entre elles et sera, entre autres, sélectionné à la Semaine de la Critique à Cannes en 1968.

L’année suivante, Milos Films produit le premier long métrage de fiction de Francis Reusser, Vive la mort, sélectionné à la toute première Quinzaine des réalisateurs à Cannes. A partir de là, et jusqu’au début des années 80, Milos Films va produire de très nombreux jeunes auteurs, souvent à travers des courts métrages, mais aussi des moyens métrages et des longs métrages, en particulier Michel Rodde, Marcel Schüpbach, Jean-François Amiguet, Frédéric Gonseth, Robert Bouvier, Costa Haralambis, Frédéric Godet, le soussigné… et j’en oublie certainement. Parmi eux, citons Vincent Mercier et Yves Robert dont le court métrage Les petites magiciennes avait remporté – excusez du peu ! – la Palme d’Or à Cannes en 1986. Suite au décès de sa première épouse, Freddy Landry avait un peu ralenti son activité de producteur… Mais s’était remis à participer à la production avec Big Sur, à travers la société de son petit-fils Valentin Rotelli qui a mis en scène avec Pierre-Adrian Irlé le film All That Remains.

Producteur, critique et activiste
Promoteur du cinéma, Freddy Landry n’était pas seulement enseignant (de maths et de cinéma) et producteur. Dès la fin des années 1950, il écrit aussi des critiques de cinéma et de télévision pour d’innombrables journaux et magazines, comme Le National, La lutte syndicale, La Gazette de Lausanne, Construire, Coopération, quelques magazines français et surtout le quotidien L’Impartial, où il aura droit à une page hebdomadaire dès les années 1970. Il contribue aussi à la création d’un magazine cinéma sur la radio locale RTN dès 1984. Il a aussi été un de ces activistes qui, dans les années 1960 et 1970, avec Alain Tanner, Freddy Buache, Alexandre J. Seiler ou Stephan Portmann, ont milité pour la reconnaissance du cinéma au niveau national, à travers l’inscription de l’aide au cinéma dans la Constitution fédérale en 1958, la création de la loi sur le cinéma en 1962, la naissance des Journées de Soleure ou l’abolition de la censure, et j'en passe. Il a aussi été représentant des producteurs dans la Commission fédérale du cinéma.

Infatigable jusqu’à la fin, toujours à l’affût de jeunes talents, il a contribué à former plusieurs générations de cinéphiles et de professionnels du cinéma. Il avait aussi du goût et du flair : je me souviens qu’il avait vu à Soleure Scissere (1982), le premier long métrage expérimental d’un jeune cinéaste alémanique inconnu vivant au Canada, Peter Mettler. Il a tout de suite acheté une copie du film pour le faire circuler et connaître en Suisse. Mettler a d’ailleurs filmé Freddy Landry dans un de ses films suivants, Eastern Avenue, avant de connaître le succès comme l’un des chefs opérateurs attitré des nouveaux cinéastes canadiens (comme Atom Egoyan et Patricia Rozema) et réalisateur de documentaires célébrés dans le monde entier.

Dernière visite à la Cinémathèque suisse
La dernière visite de Freddy Landry à la Cinémathèque suisse date de 2017. Il est venu y présenter à la fois la version restaurée de Éléments de grève réalisé par son fils Fabien Landry et Frédéric Godet en 1976 sur la grève Dubied, produit par Milos Films, et Un mois de grève au pays de la paix du travail de sa fille Véronique Rotelli qui revenait, 40 plus tard, sur cette grève historique.

La Cinémathèque suisse avait aussi récemment restauré Quatre d’entre elles, Vive la mort, Claire au pays du silence de Marcel Schüpbach, et quelques courts métrages produits par Milos Films afin de réaliser un coffret DVD en hommage à Freddy Landry et cette société pionnière. Nous regrettons qu’il n’ait pu le voir, mais ainsi sa mémoire restera.

Toute notre amitié à sa famille et ses amis.

Frédéric Maire

10 décembre 2019

Entretien avec Freddy Landry - Cinémémoire, une histoire orale du cinéma Suisse.

CinéMémoire est un projet mené par l'Université de Lausanne qui s'est donné pour objectif de constituer une archive orale des acteurs et actrices de la production cinématographique en Suisse romande à l’époque du « nouveau cinéma » (années 1960-70). En 2010, dans son appartement de la rue du Château à Neuchâtel, Freddy Landry s'est longuement entretenu avec l'équipe de CinéMémoire. L'entretien est disponible ici.

Entretien avec Freddy Landry - Cinémémoire, une histoire orale du cinéma Suisse.
10 décembre 2019

Article de Vincent Adatte paru dans Cinébulletin - Un grand défricheur de talents s’en est allé

Producteur de films et critique au long cours, Freddy Landry aura marqué l’histoire récente du cinéma suisse. Hommage à une personnalité comme on n’en fera plus.

Disparu mercredi dernier dans sa nonantième année, Freddy Landry semble avoir mené plusieurs vies en parallèle. Il fut marchand de vin, professeur de mathématiques et de statistique au gymnase de Neuchâtel, critique de cinéma et producteur de films. En parallèle? Le terme n’est pas vraiment approprié. De fait, tout était lié… sacré personnage !

Son vin, Freddy Landry le servait volontiers aux cinéastes venus lui exposer des soirs durant leurs projets dans son antre des Verrières. De même, il utilisa, tel un cheval de Troie, son rang de professeur de maths pour introduire la passion du septième art dans l’establishment scolaire; à la fois en animant et programmant des ciné-clubs somptueux piquetés de films contemporains parfois très subversifs, et en créant dès 1964 une option «cinéma» sans doute pionnière, ce qui permit à nombre d’élèves de s’essayer à la réalisation, dont Frédéric Maire, aujourd’hui en charge de la Cinémathèque suisse, et Robert Bouvier, actuel directeur du Théâtre du Passage.

 

Tribun et producteur

Se lançant dans la critique de films à la fin des années 1950, Freddy Landry profita des tribunes que lui offrirent moult journaux et magazines romands (dont l’Impartial où il avait sa page) pour militer (en compagnie de Buache et de quelques autres fortes têtes) en faveur de la création d’une loi fédérale sur le cinéma, permettant de subventionner les films d’auteur, une idée qui n’allait vraiment pas de soi, à l’époque! Il tempêta avec une égale ardeur pour la suppression de la censure idiote.

En tant que producteur de films, Freddy Landry était déjà entré de son vivant dans l’histoire de notre cinéma national… L’aventure a commencé en juillet 1966. Quatre jeunes débutants, Claude Champion, Francis Reusser, Jaques Sandoz et Yves Yersin, pour ne pas les nommer, montèrent aux Verrières, à son invitation. Après bien des discussions, le quatuor débutant fomenta, sur le conseil de leur hôte, le projet de tourner chacun un court-métrage et de réunir les quatre films ainsi réalisés en un long-métrage dès lors exploitable en salles de cinéma. C’est pour concrétiser ce projet que Freddy Landry créa alors avec sa femme Micheline la société Milos-Film, ainsi baptisée à cause de l’admiration que le couple vouait au cinéaste tchèque – le futur réalisateur d’«Amadeus» vint d’ailleurs se «réfugier» chez eux durant quelque temps après l’écrasement du Printemps de Prague.

 

Une palme d’or

Première production estampillée Milos-Film, «Quatre d’entre elles» connut les honneurs d’une sélection à Cannes, en mai 1968, dans le cadre de la Semaine de la critique. Encouragés, Freddy et Micheline Landry continuèrent leurs activités de production, jouant un rôle très important de défricheurs de jeunes talents. C’est sous leur houlette que les Jean-François Amiguet, Frédéric Gonseth, Michel Rodde, Marcel Schüpbach et de nombreuses autres pousses ont pu faire leurs débuts. Produire des inconnus n’a pas été sans difficulté. Plusieurs fois, Freddy Landry dut puiser ses économies pour payer les dernières factures… Après la mort de sa femme, dont il fut très affecté, Freddy Landry poursuivit seul la tâche, avec, en apothéose, une Palme d’or du meilleur court-métrage décernée en 1986 à Cannes aux «Petites magiciennes» signé Vincent Mercier et Yves Robert.

On l’aura compris, Freddy Landry fut un formidable éveilleur de vocations, jusque dans sa propre famille. Au jour d’aujourd’hui, tant sa fille que son petit-fils sont en effet devenus des monteurs émérites. A un autre titre, le soussigné fait aussi partie du lot des «éveillés»… Merci, Freddy!

10 août 2018

Projection dans le cadre du festival de Locarno de "Quatre d'entre elles" et de "Vive la mort" le 9 et 10 aout 2018

"Quatre d'entre elles" de Claude Champion, Francis Reusser, Jacques Sandoz , Yves Yersin

et

"Vive la mort" de Francis Reusser

Ci dessous la retranscription d'un texte écrit par Vincent Adatte dans Arcinfo :

MILOS-FILMS FÊTE SES 50 ANS

Dans le cadre de la section Cinéma suisse redécouvert, la Cinémathèque suisse présente

à Locarno «Quatre d’entre elles» et «Vive la mort», deux films dont elle a assuré la restauration et la numérisation sous la supervision de leur chef-opérateur Renato Berta. Ce faisant, elle fête aussi le cinquantième anniversaire de Milos-Films qui les a produits. Pour mémoire, cette société de production neuchâteloise, fondée à la fin des années 1960 par Freddy et Micheline Landry, a joué un rôle clef dans l’émergence d’une nouvelle vague de cinéastes romands talentueux.

Film à sketches

Tourné en 1966, distribué dans les salles en mars 1968, «Quatre d’entre elles» est un film à sketches qui présente des portraits de femmes à des âges différents (16, 22, 31 et 72 ans), respectivement réalisés par Claude Champion («Sylvie»), Francis Reusser («Patricia»), Jaques Sandoz («Erika») et Yves Yersin («Angèle»). Des quatre courts métrages formant cet «omnibus», celui de Yersin est sans conteste le plus réussi. Pour preuve, il a été sélectionné en solitaire à la Semaine de la critique à Cannes.

En milieu hostile

A la lisière du documentaire, «Angèle» décrit le sort d’une vieille dame ruinée. Placée dans un home par l’assistance publique, Angèle Grammont, qui interprète là son propre rôle, fait face avec bravoure à un milieu hostile. Soucieux d’éviter une bienveillance de façade, le futur réalisateur des «Petites fugues» n’hésite pas à engager une actrice professionnelle pour jouer une pensionnaire jalouse et acariâtre. Ses «vraies» consœurs n’y voient que du feu, rivalisant dès lors de remarques mesquines.

Toujours active

Tourné en 1969, projeté à Cannes à la Quinzaine des réalisateurs, «Vive la mort» constitue le premier long-métrage de fiction de Francis Reusser. Ironique, virulent, son propos pointe les clichés attachés à l’esprit contestataire de l’époque. Encore en mains neuchâteloises, Milos-Films est toujours en activité, notamment sur le projet des «Petites leçons de cinéma».

10 août 2018

"Vive la mort" de Francis Reusser au Festival du film de Locarno dans le cadre de la section "Cinéma Suisse redécouvert".

«Vive la mort» fait passer l’esprit de 68 sur Locarno

La Cinémathèque suisse permet de redécouvrir trois films de Francis Reusser, dont son premier, un manifeste témoignant des turbulences idéologiques de la fin des années 1960

https://www.letemps.ch/culture/vive-mort-passer-lesprit-68-locarno

lien sur le site du festival : Rediscovering Reusser   -  Vive la mort

"Vive la mort" de Francis Reusser au Festival du film de Locarno dans le cadre de la section "Cinéma Suisse redécouvert".
30 mai 2018

DVD de Un mois de grève au pays de la paix du travail

Si vous êtes intéressé.e, envoyez-nous un e-mail...

DVD de Un mois de grève au pays de la paix du travail
16 mai 2018

Projection le 29 mai 2018 à Metro Boulot Kino

Projection du film "Un mois de grève au pays de la paix du travail" en présence d'anciens grévistes, de Fédéric Deshusses et de la réalisatrice Véronique Rotelli. Rdv le 29 mai 2018 à 19h00, à la maison des art du Grütli, 16 rue du Général Dufour 1211 Genève 11 dans la salle de Fonction Cinema. LE TRAILER

Projection le 29 mai 2018 à Metro Boulot Kino
1 septembre 2017

Le prix de la marge!

Combien çà coûte ?

Le budget de «Valérian et la cité des mille planètes» de Luc Besson tourne autour des 200 millions d’euros, pour ses 130 minutes : un peu plus de un million et cinq cent mille francs la minute, vingt-cinq mille francs la seconde. En 1976, les dépenses faites par Milos film sa pour payer les factures permettant d’avoir finalement deux copies des cent minutes d’«Eléments de grèves ou parlons, la machine est arrêtée» de Frédéric Godet, sans le moindre défraiement de l’équipe, sans le moindre salaire, se sont élevées à vingt mille francs : 200 francs la minute. Le budget de « All that remains » (2010) de Pierre-Adrian Irlé et Valentin Rotelli, un film dont Big sur films sàrl fut co-producteur, s’était inscrit à 400 mille, avec des amorces de rares salaires effectivement versés : environ 5000 mille francs la minute. Celui de « Un mois de grève au pays de la paix du travail », 77 minutes, 240 mille francs, correspond à un peu plus de 3000 francs la minute. Il faut donc seize secondes du plus coûteux des blockbusters français pour « All that remains », dix pour « Un mois de grève au pays de la paix du travail » et moins d’une pour le film de 1976. Ainsi va aussi le cinéma dans ses marges...

21 août 2017

Première Suisse de Un mois de grève

A l'occasion de l'inauguration du nouvel Apollo à Neuchâtel, première Suisse de "Un mois de grève, au pays de la paix du travail" en présence de sa réalisatrice, Véronique Rotelli et de son producteur, Freddy Landry.

Plus d'infos

Première Suisse de Un mois de grève
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